Rapport 31/03 par Martin D.

CDRI du 31 mars 2010


Etaient présents : Nicolas Debue et Martin Dethier

Présentation du CDRI

Vincke a développé le service des relations internationales. En plus du service administratif « Service des relations internationales » il existe désormais :
Un vice-rectorat aux affaires internationales
Le Bureau des Relations Internationales et de la Coopération (BRIC)
Le Conseil Des Relations Internationales (CDRI)
Trois GT : pays industrialisés, pays en voie de développement et pays émergents

Une participation étudiant à ces groupes de travail est envisageable mais ils sont principalement composés de chercheurs qui cherchent des moyens de développer des contrats de recherche.

Présentation des Relations internationales de l’IEE (chaque fac/institut sera amené à faire de même)

Une brochure reprenant l’exposé de Mario Telo est disponible pour les intéressés. Je ne reviens que sur les problèmes rencontrés dans le développement des RI par l’IEE :
Coût des écoles doctorales et des échanges, etc.
Nécessité de renforcer des programmes en anglais
Accueil du nombre croissant de chercheurs et professeurs invités
Contraintes de la Communauté française en matière de reconnaissance des diplômes
Absence de politique de l’ULB en tant qu’université de la capitale de l’Europe

Présidence belge de l’UE dès juillet 2010

Des évènements vont être organisés dans ce cadre et peut-être une conférence de Van Rompu et / ou Chastel sur les objectifs réalisés ou non de cette présidence.

En cas de demande, des projets de l’ULB peuvent être soutenus. Pas en argent mais en l’octroi du label et logo « Présidence belge de l’UE » et la visibilité y attenant. Contactez le service des relations Internationales.

Le 5 mai

Accueil des recteurs des partenaires privilégiés de l’ULB. L’ULB joue clairement sur sa proximité avec l’UE pour se vendre et les partenaires croient souvent qu’ils auront leurs entrées à la Commission grâce à l’ULB. De ce constat part l’idée récemment émise que les unifs partenaires aient des « agents de liaison » dans notre alma mater et ce afin de pérenniser les contacts et d’être proche des institutions de l’UE.

Au sujet des partenaires privilégiés, la politique du recteur consiste à ne plus signer que des partenariats d’une durée maximum de 5 ans et avec un véritable contenu, pour que les conventions soient efficaces. Le SRI fait actuellement le toilettage de ces conventions.


La journée de la coopération.

Bon bilan mais il y a un manque d’intérêt des étudiants d’Erasme à ce sujet.
La délégation étudiante a insisté alors sur la nécessité d’adapter la journée à Erasme, en l’inscrivant dans les disciplines qui y sont enseignée.
La polytech explique qu’eux, ils utilisent des heures de cours pour sensibiliser les étudiants, juste avant les activités officielles de l’ULB.

Participation aux missions princières

L’ULB participe régulièrement aux missions princières.
Le problème le plus important est le suivant : Marcourt a une double casquette : Ministre de l’Economie et de l’Enseignement supérieur. Les missions ont le plus souvent un caractère économique (à court terme qui plus est, c'est-à-dire, signer des contrats) et les unifs ont du mal à se faire une place dans ces missions. De plus, l’enseignement et la recherche sont des ministères séparés (Marcourt et Nollet)

Une mission est prévue au Brésil et l’ULB a la possibilité de créer un partenariat privilégié mais le problème réside dans les thèses en « co-tutelle ». La Communauté française ne veut pas accorder à ces doctorant un double diplôme (ici : belge et brésilien).

L’ULB sera représentée, via son biopark à l’expo de Shangaï.

Une mission aura aussi lieu en Suède. A nouveau, il y a des critiques quant au caractère économique et à court terme.